et pourquoi pas demain

12.4.17

London!


Londres, le carnet de voyage c'est sur www.etpourquoipasailleurs.blogspot.com. Dès aujourd'hui et tous les jours jusqu'à la fin de la semaine…

20.3.17

Morgane

Un autre énorme coup de cœur Instagram que j'avais envie de partager ici. Les photos de Morgane R. m'accompagnent depuis des mois. J'aime tout dans ses photos : son "oeil, ses cadrages, ses couleurs… Ses photos sont douces, mystérieuses, sensibles… Quel que soit son sujet : une tasse de café, les toits parisiens, une passante, un paysage maritime… on reconnait sa touche et son regard. Ses photos ont toutes un quelque chose de particulier, loin des photos aseptisées que l'on peut voir défiler parfois sur Instagram.certaines photos ont un cadrage très précis, évoquent un tableau  à la composition parfaite. Pour d'autres, elle laisse s'installer le flou, l'indécis, la poésie. Et c'est toujours réussi.

Je suis touchée aussi par les photographes qui ne se mettent pas en avant, qui nous donnent à voir leur vision du monde, partagent leur regard sur les choses et les gens. Ce que l'on sait d'elles, on ne peut qu'essayer de le deviner en regardant leurs clichés… 

Cette discrétion et cette pudeur est l'un des poins communs de Sandrine (_trema_) et Morgane. Toutes deux ont accepté de sortir de leur réserve quand je leur ai posé des questions et je les remercie pour la sincérité et la générosité de leurs réponses. Même si je ne les ai jamais rencontrées en vrai, je suis certaine que l'on aurait plein de choses à se dire autour d'un café.
Je vous présente Morgane Raharina. Ou plutôt je la laisse se présenter en respectant ses mots. J'ai ajouté des poins et des virgules par ci-par là pour faciliter la lecture mais j'ai adoré qu'elle écrive avec très peu de ponctuation. Mais avant ses mots, ses photos.











































*compte instagram : morgane.raharina



Je m'appelle Morgane je vis à Paris 15ème 
Il fut un temps où j'exercais le métier de journaliste en Martinique mais je ne travaille plus. 
J'ai une passion pour la peinture, le dessin, la photo.

Envie d'une vie plus équilibrée et calme dans le sud (lieu de mes années d'étude ) Aix/Marseille avec des chiens des chats des cactus et des fleurs
Parisienne d'adoption je viens des Tropiques (Malgache d'origine) j'ai vécu sous les Tropiques (les Antilles) le soleil me manque. 
Mais j'aime  Paris cette ville m'inspire et m'a amenée à la photographie. 


Je prends des photos de façon régulière depuis 2013, date de création d'un blog mais j'ai toujours aimé cela. Je ne sors jamais sans mon appareil photo (Nikon D90 50mm )
Je n'ai pas de sujets de prédilections, j'ai une approche très instinctive de la photographie mais a posteriori on me fait remarquer que j'ai des thèmes récurrents où il est question de solitude, de nostalgie mais tout cela n'est pas volontaire. On m'a parlé d'une mélancolie heureuse. Et ça me plait. J'aime aussi beaucoup l'idée du "temps suspendu"
Ah si, un sujet récurrent : des autoportraits décalés et ma fille en portrait-caché. Elle m'inspire énormément avec son énergie folle. Je tente un travail à long terme sur la relation mère-fille relation privilégiée complice délicate (sens propre et figuré).

je suis…
Impatiente rêveuse sensible discrète un peu solitaire aimant  les voyages le soleil la simplicité et la sincérité. Je doute tout le temps 

mes projets… 
photographier moins :)) pour organiser mes séries et j'ai en cours un livre d'illustration auquel je tiens énormément 

mes photographes…
l'univers de Saul Leiter Vivian Maier William Eggleston Gary Winogrand, Plossu entre autres me parlent Et l'instagram de yearofthephoto est un condensé de photographies que j'aime beaucoup...

 
un dimanche idéal
le nez au vent dans les rues de Paris, découvrir le bistrot typique parisien (encore mieux s'il y a une partie "tabac" près du comptoir ) parce que je le trouve plein de charme et de poésie pour prendre un café en famille  Puis acheter des fleurs et rentrer à la maison 

Un voyage en amoureux…
Retourner dans les Arènes de Vérone en Italie pour écouter de l'Opéra moment magique et inoubliable quand tous les spectateurs allument une petite bougie avant le début du spectacle. Et qu'ils se mettent à chanter le répertoire qu'ils connaissent par cœur comme si on avait affaire à un concert pop ou rock j'adore 

Ou Los Roques au large du Venezuela Depuis l'île principale on t'emmène en barque sur un des nombreux îlots on te laisse avec ton amoureux et une glacière et c'est le Paradis Mais c'était il y a longtemps je ne sais pas si c'est encore possible


un voyage en famille…
 un Road trip (voiture train bus peu importe) pourvu que la route soit longue et qu'il y ait de la musique et des arrêts café partout j'ai une passion pour les cafés :)) du plus glauque au plus pointu !) La Californie en famille c'était super l'été dernier 

Des livres et des films…
Je n'ai absolument aucune mémoire, même dans la vraie vie, mélange les histoires les lieux les films les acteurs Je suis celle qui parle au moment où l'intrigue est à son comble et qui demande ensuite Mais qu'est ce qu'il a dit ? ce qui je sais est très agaçant ☹️ Mais dans le désordre plutôt des "classiques" le livre  de  Salinger L'attrape cœur les films de Pedro Almodovar,  Tony Gatlif, Haneke, Ken Loach, Fargo des Freres Cohen, Indian Runner de Sean Penn, 37.2 le matin de  Beineix,  les livres de John Fante, Stefan Zweig, Paul Auster, les vieux Polars americains, William Irish, Raymond Chandler, Camus, Sartre, l'écriture de Raphael Confiant, les chansons de Ferre et Jewel qui me rappellent que j'ai un peu vécu à Manhattan ...

Ma saison préférée…
La saison sèche sous les Tropiques et de manière générale j'aime les étendues désertiques où il ne se passe rien les routes droites et monotones les pays arides les cailloux la poussière les herbes sèches et folles. J'aimerai que la brousse africaine 😀 pousse sur mon balcon parisien 

Une odeur…
celle de ma fille au petit matin, une odeur de petit chat. Et "l'air du temps" un parfum désuet de Nina Ricci que je ne porterais pas mais qui me rappelle ma mère 

Couleur…
le vert profond et toute la gamme des roses doux et leurs appellations vieux roses,  rose layette, roses poudrées Rose nude… Et toutes les couleurs sourdes parce que difficiles à définir. j'aime Mélanger les 3 primaires 

Voyage qui m'a marqué…
 Cuba Mexique au choix ;)

5.3.17

en février {2017}









… Début février, yann et moi avons fait une escapade de deux jours à Bruxelles. Eric, à la librairie Candide a eu la gentillesse de m'inviter un dimanche après-midi pour fêter la parution de la nouvelle édition d'In the mood for… Bruxelles. L'occasion de découvrir (encore) de nouvelles adresses dont deux géniales pour brancher ainsi que le meilleur resto italien de la ville (pas un italien chic, mais des recettes de pâtes divines et ultra copieuses servies dans la poêle, comme on en mange à Naples…) : je les garde sous le coude pour la troisième édition du guide j'espère.

Je lis trop peu en ce moment, mais j'ai profité de notre semaine dans le Jura pour savourer deux bons romans. Un bonheur le soir après le ski de fond…
J'ai lu Le Tireur, de Glendon Swarthout, qui nous avait été conseillé par une libraire de Filigranes Corner, à Bruxelles. Un petit roman hyper original qui m'a beaucoup plu. 1901. John Books, le tireur le plus célèbre de l'Ouest, apprend qu'il est atteint d'un cancer et qu'il ne lui reste quelques semaines à vivre. Son médecin lui annonce une agonie terrible. Il s'installe dans une pension tenue par une veuve qui l'accueille avec une certaine froideur. En revanche, son ado de fils, est fasciné par leur hôte. L'annonce de la mort prochaine du héros se répand vite. Certains veulent profiter de sa faiblesse pour le supprimer tandis que d'autres défilent dans sa chambre pour tenter de gagner de l'argent sur son dos. Seules sa relation avec sa logeuse et son médecin sont sincères. C'est un très beau roman sur les derniers jours d'un homme qui regarde son passé, veut savourer chaque instant de son présent et décider de sa mort. La mort du "Tireur" symbolise aussi celle d'une époque.
J'ai adoré Celle qui reste, celle qui fuit, le troisième tome d'Une Amie prodigieuse. Les chemins de Lila et d'Elena, à l'approche de la trentaine, se sont écartés encore davantage : restée à Naples, Lila est ouvrière dans une usine de salaison, se tue au travail et élève son fils. Elle est épaulée par le fiable Enzo, qui veille sur eux. Elena, à Florence, est sur le point réaliser de votre son rêve : après l'énorme succès de son premier roman, elle va épouser Pietro, universitaire plein d'avenir,  et se destine à une carrière d'écrivain. Mais elle est hantée par le souvenir de Nino, son amour de jeunesse et l'inspiration lui fait défaut. La psychologie des deux femmes est complexe, leur relation l'est davantage encore. L'arrière plan social est passionnant (la naissance d'un mouvement féministe et les luttes prolétariennes qui s'opposent à des groupes fascistes) mais ne nuit pas à la force des destins individuels que nous raconte Elena Ferrante.



10.2.17

_trema_





Je suis devenue assez addict à Instagram, cette géniale invention qui permet de voir défiler des photos merveilleuses venues du monde entier. Parmi les centaines de photos qui passent devant mes yeux chaque jour, certaines m'émeuvent et me font vraiment du bien. Elles m'apportent plaisir, joie, réconfort. Au même titre qu'une musique, un beau roman ou un bon film, .
J'ai décidé de partager ici les comptes Instagram qui me touchent le plus. Je commence cette série avec le compte de _trema_. Un mystérieux pseudo dont j'ai oublié de demander l'origine à son auteure.
Elle photographie la nature, des gestes du quotidien, ses enfants mais par petits bouts. J'aime son univers, ses cadrages, la poésie et la douceur qui émanent de ses photos. Toutes me plaisent et me touchent. _trema_ est la preuve que le nombre de "followers" (quel moche mot) n'a aucun rapport avec le talent, mais je suis surprise de constater quà ce jour, seules 44 personnes sont abonnées à son compte.
J'ai été intriguée par le fait qu'elle ne livre aucune information sur elle. Pas même un prénom, ni un lieu de vie. Voilà qui est bien rare et cette pudeur et cette discrétion m'ont beaucoup plu. Comme si le plaisir de publier et de partager ses photos suffisait. Cela a aussi éveillé ma curiosité et j'ai pris contact avec cette photographe anonyme. Je lui ai expliqué mon projet et je lui ai posé quelques questions, en vrac. Elle m'a répondu, en vrac aussi, et que des choses jolies. Je vous les livre ici avec quelques photos d'elles que j'ai sélectionnée.

—trema_ s'appelle Sandrine et vit à Annecy. Une ville qui n'est pas la sienne et qu'elle tente d'apprivoiser en la photographiant. Ses lacs, ses paysages.
Elle a toujours aimé photographier (cours au club photo du lycée, achat d'un Minolta argentique) mais le tournant dans son approche de la photo, c'est la découverte de la Galerie du Jour, d'Agnès B qui a lui a permis de découvrir la photo contemporaine.
Elle photographie tous les jours (le plus souvent avec un iphone 5s mais elle possède un Nikon D90 équipé d'un 35mm). Elle préfère saisir les parties d'un corps au mouvement plutôt que de figer visage. Voilà pourquoi sa maman n'a pas de photos "lassiques" de ses petits-enfants.

Elle aime les photos de Saul Leiter, Hervé Guibert, Robert Franck, Nan Goldin, Kate Barry, David Lynch, Sophie Calle, les portraits Androgynes de Bettina Rheims, le travail de Charlotte Donker Toscan. Mais sa photographe préférée c'est son amie Maud.

Elle est bavarde mais aime écouter les autres, est optimiste-réaliste et râleuse. Ses goûts et son mode de vie sont simples et elle déteste le luxe et l'ostentatoire. Elle croit aux actes, moins aux paroles. Vieillir la rend heureuse. Elle est bienveillante. Elle aime être seule sans être une solitaire. Une soirée dans la nature la séduit autant qu'une soirée concert et bière.

Avec son amoureux, elle irait bien se promener dans les forêts de bouleaux en Ukraine et avec ses enfants ce serait la Hollande. Sa saison préférée : l'automne. Sa couleur, le noir "sublime et simple", une odeur "celle de l'automne quand tu ouvres ta fenêtre et que tu sens les premiers feux de cheminée des voisins". Pour elle, un dimanche idéal c'est "celui qui ressemble à ces jours, au lycée, où tu quittais à 11h au lieu de 12h30 et que tu l'apprenais à 9h".

Son livre de chevet : La promesse de l'aube, de Romain Gary. Au cinéma, elle a été marquée par Sunday bloody sunday (John Schlesinger), L'homme blessé (Patrice Chéreau), Une femme sous influence (Cassavetes), Diabolo menthe (Diane Kurys), Annie Hall (Woody Allen), La mort en direct (Bertrand Tavernier), Mauvais sang (Carax), Vincent, Paul et les autres (Claude Sautet) et le cinéma de Varda.

Je crois bien que je pourrais être amie avec elle. Voici quelques unes de ses photos :









 














30.1.17

en janvier {2017}


 " Récemment, comme je faisais le point sur les livres que j'avais lus ces dernières années, j'ai remarqué qu'il y avait désormais dans ma bibliothèque plus de romans américains que 
de romans français. 
(*La disparition de Jim Sullivan. Première phrase)

J'ai entendu beaucoup de bien du dernier roman de Tanguy Viel, Article 353 du Code pénal, que j'achèterai quand il sortira en poche. Cela m'a donné envie d'aller me pencher sur les précédents écrits cet écrivain breton né la même année que moi. Le titre et la couverture de La disparition de Jim Sullivan m'ont tentée. C'est un livre court et étonnant. Le narrateur-auteur français se raconte au fur et à mesure de l'écriture de son roman américain. Le roman se construit donc sous nos yeux… le "je" nous explique pourquoi il choisit de faire intervenir tel personnage, à tel endroit en suivant les codes du roman américain : "Et c'est vrai que Dwayne Koster avait exactement cinquante ans quand commençait mon histoire, que sa vie sentimentale s'était un peu compliquée, et qu'il était divorcé donc, puisque, d'une manière générale, il n'était pas question de déroger aux grands principes qui ont fait leur preuve dans le roman américain". Pour moi, grande amoureuse de littérature américaine, j'ai trouvé à la fois drôle et passionnant la manière dont il avait repéré les tics ou les codes de cette littérature pour les utiliser en nous prenant comme témoin du processus d'écriture. Au delà du procédé, il construit une histoire assez chouette : celle d'un prof de fac, infidèle et trompé, quitté par sa femme, trahi (d'une manière glauque et assez comique aussi) par sa jeune maîtresse, utilisé par un oncle trafiquant d'antiquités etc… Quant à la disparition de Sullivan, elle est comme un fil rouge tout au long du roman.



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lectures pour le travail…
Les quatre filles de Brick Lane, de Siobhan Curham. Un roman anglais pour ados dont les héroïnes sont quatre jeunes filles : Rose, Ambre, Sky et Maali. Rose est la fille d'une mannequin en fin de carrière qui rêve de la même carrière pour sa fille mais la sublime Rose se passionne pour la pâtisserie. Ambre, fan d'Oscar Wilde, a deux papas, dont l'un artiste qu'elle juge égocentrique et avec lequel elle ne s'entend pas. Au lycée, elle est harcelée par un groupe de filles à cause de l'homosexualité de ses parents. Sky, poète en herbe a perdu sa maman et vit sur une péniche avec un père adoré mais celui-ci a décidé de s'installer avec une femme (la mère de Rose) que Sky déteste. Enfin, Maali est une jeune fille d'origine indienne qui n'ose pas parler aux garçons… Ambre se sent seule et différente. Elle décide de passer une annonce et de monter un club secret avec des jeunes filles différentes comme elle… Rose, Sky et Maali la rejoignent. L'écriture n'a rien de sensationnelle, les  thèmes ne sont pas d'une originalité folle mais voilà un joli roman dans lequel nombre de jeunes lectrices devraient se reconnaître et qui peut faire un bien fou quand on a 12 ou 15 ans et qu'on se se différente. Un livre qui valorise la différence et incite à assumer ce qu'on est.

Lâcher prise, c'est vivre, de Solène Revol. Un livre témoignage écrit par une jeune fille qui raconte son année d'anorexie, depuis la naissance de la maladie jusqu'à sa guérison après neuf mois d'hospitalisation. Un récit très fort et très concret sur ce qui se passe dans la tête d'une jeune fille malade. J'ai lu beaucoup d'ouvrages sur la question, mais j'ai trouvé ce récit particulièrement "efficace" pour comprendre le processus de cette maladie. (lire l'interview de Solène la semaine prochaine dans "L'actu").


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Au cinéma… J'ai déjà parlé de La La Land il y a quelques jours. L'autre très beau film du mois c'est Moonlight, de Barry Jenkins. On suit la vie de Chiron, un petit garçon qui grandit dans un quartier très défavorisé de Miami. Pas de papa, une maman toxicomane. L'enfant est chétif, un peu efféminé et souffre-douleur des gamins de son école. Un enfer familial et scolaire qui ne fera que s'accentuer au fil des années. Il s'échappe de son cauchemar en se réfugiant de temps à autre chez un dealer et sa petite amie Teresa, qui prennent soin de lui. Le film se partage en trois parties et des acteurs différents incarnent le héros à trois périodes de sa vie : la petite enfance, l'adolescence et les débuts dans l'âge adulte. Ce changement de comédien n'altère en rien l'attachement que le spectateur ressent pour le personnage. On a envie de le protéger, de l'extraire d'un milieu hostile et cruel qui le rejette avec violence. On le voit grandir, évoluer et déployer des stratégies de survie. Il emprunte finalement une voie radicale pour survivre mais il est bouleversant de voir toujours, derrière le masque, le petit garçon fragile et sensible qu'il est toujours. Un très très beau film.
L'ascension et Il a déjà tes yeux sont des films sympas pour ados. Un joyeux mélange d'humour et tendresse pour prôner de belles valeurs  : le dépassement de soi, la solidarité pour le premier, l'amour et la tolérance pour le second. Ça ne fait pas de mal par les temps qui courent…
Rock'n roll de Guillaume Canet m'a bien plu. C'est une comédie inventive et audacieuse. Marion Cotillard est très drôle et le couple fait preuve d'une bonne dose d'auto dérision et c'est bien réjouissant!
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Au théâtre, Vue du pont d'Arthur Miller, mis en scène par Yvo Van Hove, a fait l'unanimité dans notre groupe d'abonnés au théâtre de l'Odéon. On a été éblouis par la mise en scène, le texte et la force de l'interprétation (Charles Berling, Caroline Proust… tous épatants). Une très belle critique du Monde à lire ici

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Petite mise à jour des lieux qui proposent In the mood for… 

*boutique en ligne : inthemoodfor.tictail.com

* à paris : Artazart (10e), Le Merle Moqueur (20e), Les Fleurs (11e), French Touche (17e), Welcome bazar Bio (11e), Voyageurs du monde (2e)…
* à rennes : Ariane, la librairie du voyage
*à nantes : L'atelier du petit parc
*à bordeaux : librairie Le Passeur
*à lille : librairie autour du monde
*à la rochelle : librairie Les Saisons
*en suisse : Sérendipité
*à liège : librairie Toutes directions
*à bruxelles : librairie Candide (et à partir du w-e prochain chez Peinture Fraîche, Ici, La Frénésie, Pépin la Lune, Le Maga…)